Je suis le danseur

 de Salsa

Sensuel

viens... contre moi,
viens parcourir mon corps,
par de douces caresses

viens deposer de tendres baisers
sur toutes ces courbes,
qui s'offrent a toi..

viens me rejoindre,
pour danser.

viens danser la danse de l 'amour,
celle que tu sais faire aller a ton rythme...

viens, m'ecouter,
et tu entendras le doux refrain,

de cette melodie, que l'on appelle
plaisir...

le plaisir de cette danse ,
ou nos corps ne font plus qu 'un..
ou le rythme est lent,

et puis plus rapide..
nos corps enlacés,
ont trouvés le meme rythme..

cette danse nous emmene dans l infini...

Je t'offre mes dix doigts qui sur toi, pianotent
Pour apaiser ta faim, archange ou tendre démon.

 

Dans mon rêve
On s'est bandé les yeux pour savourer
Chacun de nos désirs inavoués

Dans mon rêves
On s'est bouché les oreilles pour sentir
Nos cris, dans la nuit, s'unir.

Dans mon rêve,
La nuit était, comme celle-ci, chaude...
Nos corps allaient s'explorer jusqu'à l'aube.

D'un souffle aussi doux que la soie
Tu parcours mon corps livré par toi

A l'ultime traversée
Vers un ciel inexploré...

le plaisir de bien partager
fait de l'extase une joie,

une pluie de sentiments elevée
sans tenir compte des fois ...

l'orage violent puis calme
tarrode les veines,

de sa jouissance profonde,
que cela en vaille la peine!!

Les peaux s'imprègnent d'amour, d'émotion en frissons,
Prêtes à répondre en offrandes ,aux assauts de passion,

Tout est senteur, douceur, échanges, tout s'oublie
S'anoblit pour ceux qui savent porter sans replis
Les fusions d'un amour partagé sans retenues.

Accrochée à l'amour de tes baisers
J'aspire ta jouissance avouée

Sur nos peaux, la sueur parfumée
Perle en millier d'étoiles salées

Quand se brument nos regards
Les secondes s'enfuient au hasard

Restent suspendus à l'ourlet de nos lèvres
Nos sourires vaincus par l'instant de fièvre

Les anges chanteront, suivant notre sillage,
Jusqu'à ce que jaillisse un grand feu d'artifice

Que nous partagerons dans un même voyage,
Heureux et harassés d'un si beau sacrifice.

Nos corps encore tressés, engourdis de bonheur,
Fatigués mais repus, tremblants, yeux dans les yeux,

Reposeront unis, planant vers nul ailleurs,
Puisqu'il n'y a qu'ici pour atteindre les cieux.

 

Alors, nos bras écartés,
Nos doigts enlacés,
Nos mains serrées,

Désarmée, tu t'es abandonnée,
Et en toi j'ai plongé,

Pour un charnel plaisir
Pour un eternel désir !

Dans un ultime soupir,
Nos larmes salées se sont mêlées

En une rivière de diamants,
Rien ne pourrait plus nous séparer,

 
Contre la distance, contre le temps,
Nous étions devenus les plus fort des amants !

meli.g