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Par rebelle avec coeur le 30 Décembre 2010 à 15:24
Je passe vous voir ici car je n'aurai pas la possibilité de venir
dans vos blogs .Je ne vais pas bien j'ai le contre coup des evenements familiaux bon allez en 2011 cela passera car la nouvelle ANNEE sera mieux je vous aime et pense a vous bisous
Marie-Christine
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Par rebelle avec coeur le 19 Décembre 2010 à 23:38Je viens par ce billet vous souhaiterun Joyeux Noel et surtoutje pense à ceux qui n'ontrien et avec qui je suis en pensées avec euxMais pas seulementcar chaque annéedans le quartierou je réside chaque famille demon entrée prepare des repas pourdes personnes âgées et en difficulté .Car souvent les familles les délaissent.Alors si je vous parle de celac'est pour que vous ysongiez car en ces jours de fêtescomment pouvons nousfaire la fête alors qu'à nos portesil y a des gens endétresse passeulement matéreriellenon!! oh!! non !!!!Mais aussi et surtoutdans une solitudeque l'on est loinde penser alorsvoila je vous disMERCI pour eux;Mes amies et amisà mon cœurje vous aime
deux anges veillent
sur vous
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Par rebelle avec coeur le 11 Décembre 2010 à 01:54
Petit bonhomme où t'en vas-tu
Courant ainsi sur tes pieds nus
Je cours après le Paradis
Car c'est Noël à ce qu'on dit...
Le Noël de la rue
C'est la neige et le vent
Et le vent de la rue
Fait pleurer les enfants
La lumière et la joie
Sont derrière les vitrines
Ni pour toi, ni pour moi
C'est pour notre voisine
Mon petit, amuse-toi bien
En regardant, en regardant
Mais surtout, ne touche à rien
En regardant de loin...
Le Noël de la rue
C'est le froid de l'hiver
Dans les yeux grands ouverts
Des enfants de la rue
Collant aux vitres leurs museaux
Tous les petits font le gros dos
Ils sont blottis comme des Jésus
Que Sainte Marie aurait perdus...
Le Noël de la rue
C'est la neige et le vent
Et le vent de la rue
Fait pleurer les enfants
Ils s'en vont reniflant,
Ils s'en vont les mains vides
Nez en l'air et cherchant
Une étoile splendide.
Mon petit, si tu la vois
Tout en marchant bien droit
Le Noël de la rue
C'est au ciel de leur vie
Une étoile endormie
Qui n'est pas descendue...
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Par rebelle avec coeur le 2 Décembre 2010 à 19:48
En hiver la terre pleure ;
Le soleil froid, pâle et doux,
Vient tard, et part de bonne heure,
Ennuyé du rendez-vous.Leurs idylles sont moroses.
- Soleil ! aimons ! - Essayons.
O terre, où donc sont tes roses ?
- Astre, où donc sont tes rayons ?Il prend un prétexte, grêle,
Vent, nuage noir ou blanc,
Et dit : - C’est la nuit, ma belle !
- Et la fait en s’en allant ;Comme un amant qui retire
Chaque jour son coeur du noeud,
Et, ne sachant plus que dire,
S’en va le plus tôt qu’il peut.Victor Hugo
La neige
Blanche neige
Gros flocons
Chauds manteaux
Et gros pompons !Dans la neige
Il fait bon
Tout est beau
Et tout est rond.Les clochers
Les maisons
Ont des glaçons
Sur le frontLes traîneaux
Les chapeaux
Ont de la glace
Au menton.Il fait froid,
Gla, gla, gla,
Couvertures et feu de bois.Il fait chaud
Chocolat,
La neige fond
Et ça sent bon !Sophie Arnoult
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Par rebelle avec coeur le 1 Décembre 2010 à 22:50
Et pour en revenir à la solitude, il sera de plus en plus évident qu’elle n’est au fond rien que l’on puisse prendre ou laisser. Nous “sommes” solitaires. On peut se laisser abuser et faire comme s’il n’en allait pas ainsi. C’est tout. Mais comme il serait préférable d’admettre que nous sommes solitaires et partir tout bonnement de cette donnée. Nous sommes pris de vertige, cela se produira sans doute ; car tous les points familiers à nos yeux nous seront retirés, il n’y aura rien de proche, et tout lointain sera infiniment loin. Quiconque, presque sans préparation ni transition, serait transporté de sa chambre au sommet d’une haute montagne éprouverait semblable sensation : une insécurité sans pareille à se sentir livré à l’inexprimé risquerait de l’anéantir. Il s’imaginerait tomber ou croirait être projeté dans l’espace ou éclater en mille morceaux : quel monstrueux mensonge son cerveau ne devrait-il pas imaginer pour récupérer ses sens et y remettre de l’ordre. Ainsi, pour qui devient solitaire, toutes les distances, toutes les mesures changent ; beaucoup de ces changements surviennent brusquement et, comme chez cet homme au sommet de la montagne, naissent alors des représentations extraordinaires et des sensations fantastiques qui semblent dépasser le seuil du supportable. Mais il est nécessaire que nous vivions aussi “cela”. Il nous faut accepter notre existence aussi “vastement” que possible ; tout, même l’inouï, doit y être possible.
— Rainer Maria Rilke, Lettres à un jeune poèteJe suis seul. Longtemps je n’ai pas voulu l’admettre, il m’a fallu le vivre pour m’accoutumer à le penser et le dire sans qu’un frisson de désespoir ne traverse. Je suis seul. Encore aujourd’hui, je ne peux le murmurer sans qu’une part de moi ne me renvoie au malheur et à la tristesse - aux châtiments de l’exil. L’autre part au contraire y cherche réconfort et salut - habiter dans l’exil. Mais il n’y a que moi, et je ne suis que dans les interstices ; je me déforme dans ces deux miroirs. Ceux qui professent que la solitude est nécessaire s’aveuglent de croire qu’elle est choisie ; ceux qui la combattent avec énergie font d’elle un adversaire ; plus ils la repoussent, plus son ombre leur parait menaçante.
L’aveu vient souvent, terriblement silencieux, dans le catimini de la conscience - un soupir ; qu’il ne faut pas méprendre pour de la résignation ni du dégoût. Un soupir de fatigue ; il a fallu apprivoiser, ruser avec cette solitude - elle est longtemps devenue à l’intérieur de moi. Et quand elle advint, l’apaisement succéda à l’ébahissement. Je suis seul et je me souviens. Ce fut un moment froid et glacé, j’étais terrorisé - la lutte m’avait rendu habile à détourner mes yeux, mais dans cette pièce nue, l’éléphant avait tellement grossi qu’il obstruait jusqu’au futur. Il m’a bien fallu admettre, et pendant quelques instants cet aveu sonna comme une défaite. J’étais ébahi, les yeux écarquillés sous les paupières, le sol se dérobait, des cris stridents retentissaient - ma mâchoire s’est vivement contractée, ma gorge sèche a avalé brusquement le suc amer du désespoir. Mes bras ballants tombaient jusqu’à terre. J’ai souri et j’ai fait un pas de côté, quelques centimètres à peine, sans bruit ; pour ne pas signifier mon départ. Mais je n’ai pas pleuré, je n’étais arrivé nulle part : j’étais dans l’interstice; mais pour la première fois, je le voulais ainsi. Mon cerveau m’épargna un instant son monstrueux mensonge, le temps de prendre la mesure des choses, de mémoriser un nouvel usage du monde. Cette étincelle de poésie fut d’une totale brutalité. Projeté hors de soi, chacun attend le mur auquel il se frappera. Mais il n’y a de murs que dans notre esprit, que nous dressons temporairement afin de s’abriter de l’inexplicable.
La solitude était sortie du négatif pour entrer dans le positif, elle s’était affranchie des petites morts qui la suivent pour devenir un processus. J’avais appris à désirer la solitude, à la vouloir. Celle-ci s’est depuis transformée, elle a mué au gré des évènements, elle colore de toute sa palette les expériences. La solitude n’est pas un absolu, elle est une croyance. Elle se vit moins qu’elle s’expérimente. Ainsi, elle ne peut être décrite hors de son contexte, elle est à chaque fois une immanence renouvelée. Et il nous faut tout sacrifier à cette croyance - nous “sommes” solitaires, et c’est cela même qui est inouï.
Je suis seul. Dans les volutes de l’entremêlement des solitudes demeure la permanence précaire de nos exils. Rilke est le poète de cette solitude ; exilé et apatride, son oeuvre entière en tente une cartographie délicate.
La solitude est comme une pluie
Elle monte de la mer à la rencontre des soirs,
Des plaines, qui sont lointaines et dispersées
elle va jusqu’au ciel qui toujours la possède
et là du ciel elle retombe sur la ville
Elle se déverse sur les heures indifférenciées
lorsque les rues se tournent vers le matin
Et lorsque les corps qui ne se sont pas trouvés
se détachent l’un de l’autre abusés et tristes
Et lorsque les hommes qui se haïssent
sont obligés de coucher ensemble dans un même et seul lit
Alors la solitude s’en va dans les fleuves
— Rainer Maria Rilke, le livre d’image
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Par rebelle avec coeur le 29 Novembre 2010 à 23:28
Bonne nuit à vous qui passez je vous écris ici
car je suis trop fatiguée et debordée par la vie
je vous aime bisous
merci pour vos passages chez moi
mais ce soir pas le moral
votre amie
marie-christine
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Par rebelle avec coeur le 24 Novembre 2010 à 15:45
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Par rebelle avec coeur le 22 Novembre 2010 à 15:43
Sainte Catherine le 25 novembre
Le 25 Novembre, jour de
la Sainte Catherine, est le jour des
Catherinettes. On y fête les
jeunes filles de 25 ans qui ne sont pas
encore mariées. La tradition veut qu'elles
portent un chapeau extravagant
aux tons jaunes et verts
confectionné pour ou par elles,
à leur image.
Origine de cette tradition
Sainte Catherine d'Alexandriea vécu au IIIe siècle.
Sa légende rapportée
en France par le croisés,
raconte qu'elle est morte
vierge et martyre.
Elle fut d'abord attachée à
une roue munie de pointes,
qu'elle parvint à briser par ses prières.
Elle fut ensuite décapitée et deson corps jaillit du lait.
Puis elle fut portée part des anges
sur le Mont Sinaï.
Née à Alexandrie au sein d'unefamille noble, Sainte Catherine
se convertit au christianisme
à la suite d' une vision. Très intelligente,
elle suit les cours des plus
grands maîtres chrétiens.
Elle est la seule sainte du paradis
à posséder trois auréoles :
la blanche des vierges,
la verte des docteurs et
la rouge des martyrs.
Sainte Catherine est aujourd'hui lapatronne des filles à marier,
mais aussi des théologiens,
philosophes, orateurs, notaires,
étudiants, meuniers,
plombiers, tailleurs ...
La tradition de Sainte Catherine
remonte au Moyen âge.
A l'époque, les filles de 25 ans
qui n'étaient pas encore mariées
revêtaient des tenues et
des chapeaux extravagants
et se rendaient en cortège
devant une statue de Sainte Catherine
pour la parer de fleurs, rubans,
chapeaux ...
Elles coiffaient Sainte Catherine
dans l'espoir de trouver un mari !
Elles allaient au bal et cellesqui voulaient trouver
un mari se mettaient
un chapeau complétement
fou sur la tête.
Elles y accrochaient
des objets jaunes et verts
pour se faire remarquer.
Elle fut vénérée dès le moyen âge
dans de nombreuses églises,
ou des jeunes filles non mariées
venaient le jour de sa fête,
honorer sa statue et
renouveller sa coiffure.
C'est de là qu'est venue la tradition
encore très répandue
"de coiffer Sainte Catherine"
pour les jeunes filles qui atteignent
25 ans sans être mariées.
Dans l'industrie textile,
où Sainte Catherine a été
adoptée comme patronne
des fileuses, la Sainte Catherine
est fêtée par un bal des catherinettes.
Dans le nord de la France
les jeunes filles s'envoient
ce jour la des cartes
de la Sainte Catherine pleines
de souhaits et de doux espoirs.
La Sainte-CatherineIl y a très longtemps,
il y aurait eu une femme
du nom de Catherine qui aurait été
exécutée vers l'an 307 pour avoir
refusé de se marier à un empereur
romain Maxence.
Au X11e siècle,
on exposait sa statue
dans les églises de Paris
et le 25 novembre de chaque
année, on déposait une coiffe
sur sa tête.
C'était la plus âgée
des jeunes filles qui le faisait.
Par la suite, les ouvrières
non mariées se coiffaient
de bonnets de papier.
Au début de la colonie au Québec,
Marguerite Bourgeois a commencé
à fabriquer de la tire
le 25 novembre pour attirer
les Amérindiennes à l'école.
À l'époque de nos ancêtres,
la Sainte-Catherine était le jour
où on fêtait les vieilles filles
ce qui voulait dire les filles
de plus de 25 ans
non mariées et on les appelait
" Catherinettes".
Dans les écoles, la Sainte-Catherine
était une des plus grande fête
de l'année. On fabriquait
de la tire avec de la mélasse.
Il fallait l'étirer, la couper
en bouchée et l'envelopper
dans des papillottes.
On fêtait avec des sketches,
des jeux, des chants,
des danses durant tout
l'après-midi et parfois
toute la journée.
Nous, nous ne savions pas
comment était fabriquée la tire.
Le 24 novembre p.m. une gentille
dame Laurette Morin de
notre paroisse est venue
fabriquer de la tire avec nous.
Elle nous a expliqué la marche
à suivre pour faire
de la bonne tire.
Avec ses judicieux conseils,
nous avons étiré, coupé
et surtout mangé la bonne
tire à la mélasse.
Nous vous donnons la recette.
N'oubliez pas de vous beurrer
les mains avant de prendre
les morceaux de tire
pour l'étirer sinon vous serez pris
dans la tire et c'est super collant.
Essayez-le, vous verrez
c'est délicieux et naturel...
Voici la recette: Tire à mélasse
Ste-Catherine 1/2 tasse mélasse
1/2 tasse sirop de blé d'Inde
1 tasse cassonade
1 tasse sucre
1 c.table vinaigre
1/4 c. thé crème de tartre
1/8 c. thé soda
1/4 tasse beurreAmener à ébullition
sur feu doux jusqu'à 260
degré Fahrenheit Recette
de Laurette Morin de Saint-Honoré
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Par rebelle avec coeur le 17 Novembre 2010 à 22:45J'avais fait de ton amour ma seule raison
Il s'est résumé en une immense déception
J'ai été surprise par cette haute trahison
Alors que tu montrais tant de dévotion
Tu me répétais souvent que tu m'aimais
Que c'était dur pour toi de ne pas me voir
Tu disais que tu ne me quitterais jamais
Et tu me laisses le coeur plein de désespoir
Que sont devenus nos rêves et nos promesses
Nos désirs de voyager, nos envies de liberté
Dans tes bras je me sentais une vraie déesse
Et dans tes yeux je lisais une grosse fierté
L'amour est désormais mélancolie et souffrance
Les jours défilent et il ne reste que les souvenirs
A qui accorderais-je maintenant ma confiance
Pas à toi qui a remis en cause mon avenir
3 commentaires
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